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Vous portez de l’attention à votre alimentation, et vous souhaitez la reprendre en main : nous vous proposons aujourd'hui de franchir ensemble une nouvelle étape vers ce monde idéal.

Manger au quotidien implique la présence d'animaux d'élevage : fumier pour fertiliser les cultures de légumes ; produits laitiers et carnés pour vous nourrir ; prairies pour filtrer l'eau de pluie et offrir une biodiversité, favorable notamment aux abeilles (miel et pollinisation desvergers) ; paysages pour nous nourrir de beauté...

Admettons, enfin, ensemble, que ce cycle de vie est marqué par la mort de l'animal. Osons lui offrir une solution

d'abattage à la hauteur du don qu'il nous fait. 

Manger rend donc responsable !

Éleveurs et consommateurs sont responsables de la manière dont sont abattus les animaux : les éleveurs.euses de l'AALVie osent mettre en place un nouveau système d'abattage où les notions de respect, de bienveillance, de cohérence prennent tous leurs sens. Les consommateurs.trices et citoyens.ennes doivent oser soutenir ce projet ! 

Redonner du sens à l'abattage et à la viande

Témoignage de Ludovic, éleveur à Châteaubriant (44), chez qui a eu lieu le premier test d'abattage à la Ferme

Samuel,
ancien salarié abatteur pendant 19 ans.

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Capture d’écran 2020-06-22 à 20.20.54.

Dominique Barreau,
chef de projet agriculture et alimentation à Nantes Métropole

Bernard Morilleau,

maire de Sainte-Pazanne (44) et président du PETR (pôle d'équilibre territoriale et rural) Pays de Retz (zone d'implantation de la première structure dédiée)

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Bernard Lebeau,
vice président au Conseil départemental de Loire-Atlantique en charge du dossier agricole et alimentation 2020

"Depuis plusieurs années déjà, le Département défend la promotion des circuits courts pour une alimentation locale et de qualité. Cet engagement se traduit par des actions de relocalisation des circuits alimentaires, principalement à destination de la restauration collective.

C’est pour cela que le Département soutient la réflexion sur l'abattage à la ferme, portée par l’AALVIE. Il mène, en lien avec la Région, une étude complémentaire sur le modèle économique et l'implication des collectivités dans ce projet (financement et gouvernance). Les conclusions de cette étude sont attendues pour l'été 2020. 

Au Département, nous sommes conscients des besoins et des attentes des éleveurs, tant en termes de bien-être animal que de structures d’abattage locales et compétitives.

Le projet porté par l’AALVIE, au-delà d'améliorer les conditions d’abattage des animaux, participerait d'un véritable projet de territoire. En relocalisant la filière de l'abattage, en garantissant un retour de la valeur ajoutée dans les fermes, en valorisant le métier d'éleveur, il ancrerait durablement l'élevage dans notre département.  Ce projet est ambitieux et nous espérons qu’il puisse aboutir et contribuer à l’amélioration d’une alimentation locale et de qualité pour tous, y compris dans la restauration collective."

Caroline,
éleveuse de Brebis à Blain (44)

De plus, si l'épisode de Covid que nous venons de traverser a quelque chose à nous apprendre, c'est bien concernant les vertus de la relocalisation des filières agricoles et agro-alimentaires. L'abattage à la ferme, s'inscrit pleinement en acteur de ce changement qu'il faut mettre en oeuvre.

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